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New York: le bon coût de l’Upper East Side

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Je vous conseille le blog de de Gilles Pudlowski  Les pieds dans le plat

Et j’ouvre une rubrique Gastronomie

Voici un exemple pour New York
Griffé Elie Zabar, ce snack chic avec son échoppe traiteur attenante, ses carreaux en noir et blanc au sol, ses tables relax, ses produits frais joue les bons coûts de l’Upper East Side. On peut venir, avant ou après la visite des voisins musées – MET ou Guggenheim sont tout proches -, goûter une soupe du jour, une omelette, un sandwich au saumon, une pâtisserie bien crémeuse, une pita, une focaccia, une salade de canard, de poulet, de lentilles ou d’aubergines.
C’est frais, léger, tarifé sans méchanceté. L’ambiance est relax et le service souriant autant qu’efficace. Pratique pour un petit déjeuner si vous résidez à l’hôtel dans le quartier (Mark, Surrey, Carlisle sont à quelques pas) et désirez vous en tirer à meilleur compte dans une ambiance chic et new-yorkaise de toujours.
E.A.T., 1064 Madison Avenue (entre 80th et 81th Str.). New York. Tél. 212 772 0022. Carte: 20-45 $.

New York, la ville lumière

http://www.guide-joailliers.com/art,258,new-york-la-ville-lumiere.html

New York, la ville lumière

L’arrivée des fêtes de fin d’année est toujours très riche en événements, soirées, lancements de produits… Mais à New York cela se double d’une féérie où toute la ville se pare de vitrines somptueuses et merveilleuses. Un enchantement visuel participant à la joie de Thanksgiving et de Noël.

Les magasins dévoilent aussi leurs plus beaux joyaux dans ces écrins fastueux. La célèbre maison Tiffany & Co en a profité pour lancer sa nouvelle collection « T », créée par Francesca Amfitheatrof. Cette ligne revisite la première lettre de la maison, tout en la surnommant la « Train » collection. Une invitation au voyage, avec une déclinaison de bracelet jonc, bague, mais aussi collier et bracelet à maille en forme d’accroche de wagon comme une ombre de T ! Tous les modèles sont disponibles en or jaune, rose ou blanc mais aussi en argent. Le lancement à New York c’est fait dans un vrai wagon aux allures de traversé de l’ouest américain et en première classe ! Pour les fêtes le magasin historique de la cinquième avenue est décoré d’aigrettes géantes de diamants blancs et orné de son célèbre diamant jaune Tiffany !

Juste à côté, se trouve un des grands magasins les plus luxueux au monde : Bergdorf Goodman. Une institution de l’ultra luxe avec une sélection de marques parfois introuvables ailleurs dans le monde. La sélection de bijoux est absolument fabuleuse. Des maisons de haute joaillerie incroyables, des bijoux hors du commun parmi lesquelles la dernière arrivée est une petite maison parisienne : Blanchin Joaillerie ! Blanchin s’est fait remarquer pour ses collections tout en douceur et subtilité avec des saphirs Padparadscha rose orangé, mais aussi des saphirs tilleul, jaune pâle, bleu pastel, ou encore des pierres de lune ou spinelles roses, gris ou parme… Une légèreté de trait se jouant de la rigidité des matériaux pour des pièces qui sauront séduire les clientes fortunées en visite dans ce temple du luxe ! Mais cela n’est pas tout, Bergdorf Goodman émerveille par ses vitrines totalement grandioses, telles des images sorties de conte de fées et d’imaginaire interdit. Vous pouvez rester des heures à les admirer tellement elles sont captivantes !

Cette fin d’année marque aussi la fin des festivités des 175 ans dePatek Philippe. La maison de Haute Horlogerie genevoise a organisé sa dernière soirée d’anniversaire dans la célèbre Rainbow Room, au dernier étage du Rockefeller Center. Une salle mythique qui vient juste d’être réouverte après plusieurs années de restauration. Une vision panoramique de New York avec une vue imprenable sur le Chrysler et l’ Empire State building ! Pour l’occasion, la maison Patek Philippe a dévoilé son dernier bijou : La Grandmaster Chime 5175 , la montre anniversaire des 175 ans. Cette grande complication comporte le plus grand nombre de complications au monde : 20 exactement dont une Grande et une Petite Sonnerie et 2 premières complications mondiales dont une alarme programmable tous les quarts d’heure. Cette montre en or est aussi réversible avec 2 cadrans totalement différents. Le cadran pivote sur un axe permettant une lecture facile des 2 côtés. Un petit bijou qui a nécessité 7 ans de mise au point réaffirmant le savoir-faire de cette maison incomparable. Editée à 7 exemplaires, une montre sera réservée pour le musée Patek à Genève et les autres pour quelques clients pouvant s’offrir une montre à 2,6 millions de dollars !

Enfin si vous venez à New York en fin d’année, vous ne manquerez pas de venir découvrir le fameux sapin de Noël juste au dessus de la patinoire du Rockefeller Center, un sapin géant de 26 mètres de haut, entièrement décoré de lumières telles des diamants, rubis, saphirs et émeraudes brillants de mille feux !

Cyril Magne

Un Murder and Mystery Dinner à New York

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Un petit meurtre entre amis n’a jamais tué personne.

Vous aimez un bon thriller au ciné et vous adorez le théâtre ? Vous lisez sans relâche des polars et devinez toujours le meurtrier avant la fin du livre ? Voici ce qu’il vous faut : un Murder and Mystery Dinner, ces dîners où des acteurs doivent élucider un meurtre avec l’aide du public. Gardez votre sang froid et votre opinion au chaud, vous en aurez besoin pour découvrir la vérité…

Le concept – Un dîner à vous couper l’appétit

Dans le silence froid d’une nuit d’hiver, un cri retentit… Un corps sans vie hante désormais l’esprit des occupants de la maison dans laquelle ils se sont retrouvés. Tous étaient là, donc, tous sont suspects.

Ce résumé digne d’un huit-clos à la Agatha Christie est en réalité ce qui vous attend si vous assistez à une Murder Mystery Dinner Party, un dîner d’un autre genre… Le concept ? Invité à une soirée, un meurtre a soudain lieu sous vos yeux, et votre mission est d’aider les acteurs à résoudre le crime.

Sortez la loupe et l’imper, vous devez alors questionner les témoins, analyser les indices, repérer les mensonges, pour arriver à mettre un nom sur un (ou plusieurs) meurtrier(s). Méfiez-vous de votre voisin et de son couteau à viande…
Vous n’êtes à l’abri de rien, ni de personne.

Différentes compagnies ou sociétés sont devenues professionnelles dans l’art de créer avec brio des scénarios mortels, en voici 3 à New York et autour.

THEY Improv – Souriez, vous vous êtes fait berner

Les acteurs un peu foufous de THEY Improv préparent des spectacles sur-mesure pour leurs clients, et se déplacent à domicile pour leurs événements. Dîner de famille, déjeuner entre amis, soirée d’affaires… Vous pouvez tout pimenter.

Le petit plus de la société ? Les « Ambush Murder Mystery Dinners », ou le public n’est pas au courant qu’un spectacle a lieu sous leurs yeux… Une épouse jalouse qui surgit et attaque la maîtresse de son mari au milieu d’un dîner d’affaire, c’est du faux ou du vrai ? Décidez vite avant d’intervenir – ou pas.

Infos pratiques

THEY Improv

Disponible à Manhattan, the Bronx, Brooklyn, Queens, Staten Island, Long Island, Westchester County et Upstate New York.

Info@theyimprov.com

866 219 4386

Prix en fonction des événements.

TheImprov.com

Murder and Mystery Inc – Bang Bang, à bas le gang

Ce groupe se présente comme « le théâtre de Murder Mystery Dinner le plus ancien et toujours en activité de New York et du monde ». Son dîner le plus célèbre : le « Murder by the Mob », où pendant 2 heures et demi, les acteurs se fondent parmi les invités et essayent de résoudre un crime sordide perpétré par un gang sanglant. Le dîner à 3 plats se termine par une petite session musicale et quelques pas de danse.

Infos pratiques

Murder and Mystery Inc

141 West 38th Street
New York, NY 10018

90$ pour le dîner et le spectacle ; 119$ pour des places VIP.

TheNewYorkMobShow.com

Watson Adventures – Un meurtre au musée

Watson Adventures s’est spécialisée dans les chasses au trésor à travers la ville sur différents thèmes, dont un « Murder and Mystery ». Ces événements très spéciaux ont lieu dans différents musées de la ville, comme le Metropolitan Museum of Art ou l’American Museum of Natural History. Les scénarios sont un mix entre le Da Vinci Code, un roman d’Agatha Christie et un fait divers, que vous devez démêler.

Infos pratiques

Watson Adventures, Murder and Mystery

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Environ 40$ pour les adultes, 30$ pour les étudiants.

WatsonAdventures.com

Source: http://frenchdistrict.com/new-york/articles/murder-mystery-dinner-enquete-crime-amis-jeu/#ixzz3MEOAP2O0

Dyker Heights : promenez-vous dans un quartier de Brooklyn

http://www.paris-newyork.tv/dyker-heights-baladez-vous-dans-un-quartier-de-brooklyn-magique-et-enchanteur-au-moment-de-noel-on-la-visite-pour-vous/

PARIS NEW YORK TV

Dyker Heights : promenez-vous dans un quartier de Brooklyn magique et enchanteur au moment de Noël ! ON L’A VISITÉ POUR VOUS Sur le site Paris New York TV

Être à New York au moment des fêtes de fin d’année est toujours une période très agréable. Avec Hanukkah et Noël, les décorations et illuminations sont partout dans la ville. Et si l’un des emblèmes de New York au moment de Noël reste, générations après générations, le traditionnel et gigantesque sapin de Noël de Rockefeller Center, il y a un quartier au fin fond de Brooklyn qui mérite véritablement d’être visité tant ses décorations et illuminations sont spectaculaires. Il s’agit de Dyker Heights ! –

Pour aller à Dyker Heights, le plus simple est de prendre le metro au départ de Manhattan jusqu’à la station 86th Street (ligne R) ou 18th Avenue (lignes D ou M) de Brooklyn. Ou bien, pour ceux qui ne souhaiteraient pas visiter le quartier par eux mêmes et préfèrent y aller en groupe, nous vous conseillons d’embarquer, au départ de Manhattan, à bord d’un des bus de la compagnie “A slice of Brooklyn” pour une visite guidée et complète du quartier.
Se retrouver à Dyker Heights est l’assurance de se sentir émerveillé par un spectacle des plus enchanteurs et qui plaira aux petits comme aux plus grands. Les décorations sont impressionnantes et relèvent du niveau de décorations professionnelles. Une ambiance magique où chaque maison rivalise et/ou s’harmonise avec ses voisins. Il est amusant de se dire que ce sont des particuliers qui décorent chacun leurs maisons jusqu’à ce point, pour leur plaisir mais aussi pour celui de leurs visiteurs ! Car le quartier de Dyker Heights est devenu LE quartier de référence qu’il faut visiter en période de Noël et a su gagner en notoriété sur tout le sol américain grâce à sa beauté et son originalité. –

Après vous être promenés et avoir sillonné les quelques blocs du quartier de la 83ème rue à la 86ème et entre les 11ème et 13ème avenues, nous vous conseillons d’aller terminer votre soirée en prenant un hot-dog au Nathan’s du quartier de Bay Ridge, à quelques minutes à pied. Une soirée inoubliable pour de très belles fêtes de fin d’année que nous vous souhaitons à tous. Happy holidays ! –

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Suppressions de paroisses catholiques à New York

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17 décembre 2014 | Par Michel Granger

Dans un pays où la religion a toujours été identitaire, liée à la période héroïque de la colonisation au xviie siècle (celle des « Pères pèlerins »), où la séparation des églises et de l’État n’a jamais coupé la vie politique de la religion, au point que les hommes politiques arborent leurs appartenances et croyances religieuses à la boutonnière, la suppression programmée de nombreuses paroisses ne peut passer inaperçue. Depuis cet automne, l’archidiocèse de New York – qui s’étend des montagnes Catskills à Staten Island – est en pleine effervescence : le cardinal Richard Nolan a lancé un vaste plan de fusion de paroisses pour réduire les coûts de fonctionnement. Sur 368, 112 on fait l’objet d’une étude pour donner naissance à 55 nouvelles paroisses. Récemment, un projet d’économies supplémentaires est venu en discussion, concernant 38 paroisses qui devraient se fondre en 16. La fermeture des églises inutilisées aura lieu en août prochain. Ces fusions se produisent dans la région de New York qui a pourtant une histoire de forte immigration catholique (irlandaise, italienne, portoricaine), mais d’autres diocèses des États-Unis sont aussi concernés et doivent procéder à des regroupements similaires.

Divers épisodes médiatiques concernant des questions de société portant sur l’avortement ou le mariage gay, par exemple au moment de la campagne électorale de 2012, avec la candidature du catholique traditionnaliste Rick Santorum, ont fourni une visibilité aux extrémistes et pu donner l’impression d’un puissant renouveau religieux. Toutefois, les plans d’économies réalisés par diocèses révèlent une crise de l’Église catholique américaine. Elle doit faire face par endroits à une désaffection sérieuse : il n’y aurait plus en moyenne que 12% de fidèles pour assister aux messes, selon les données de l’archidiocèse de New York. Les bâtiments coûtent cher à l’Église à qui revient de les entretenir : d’où la nécessité de réduire le nombre de paroisses, afin de conserver ce qui peut être sauvé. On gardera notamment celles dont les budgets sont équilibrés, parce qu’elles sont plus fréquentées et situées dans des quartiers où les riches donateurs sont généreux. Les églises inutilisées seront vendues dans les années à venir. À cela s’ajoute le manque de prêtres qui incite fortement à conduire une politique d’austérité.

Plusieurs explications de ce déclin peuvent être avancées. Certains des quartiers peuplés, où les églises avaient été construites il y a un siècle ou un siècle et demi, se sont remplis d’immeubles de bureaux, si bien que la population s’est éloignée vers les banlieues vertes. Le mode de vie a changé, les fidèles se sont transformés en « Chreasters », des pratiquants qui n’assistent plus qu’aux messes de Noël et de Pâques (Christmas + Easter), moments privilégiés pour témoigner leur attachement minimal à la religion, ou tout au moins à la tradition. Sans doute aussi certains se sont-ils éloignés de la religion institutionnalisée, celle qui fait la jonction entre les principes séculiers et les préceptes religieux, pour se contenter de croyances individuelles bricolées qui ne nécessitent plus d’aller à la messe.

L’Église catholique américaine souffre enfin très vraisemblablement des effets négatifs cumulés des milliers de scandales d’abus sexuels sur mineurs qui ont éclaté depuis une douzaine d’années : ils ont donné lieu à des procès comportant d’énormes indemnités financières qui ont touché les diocèses au portemonnaie et singulièrement réduit l’attractivité des églises. La diminution d’autorité morale qui en a résulté contribue à rendre silencieux le clergé sur les questions essentielles, l’injustice économique et sociale, la crise écologique, le fonctionnement du système judiciaire et le comportement de la police, comme lors des événements de Ferguson…

New York sauve la peau des chiens

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Monde.fr | 17.12.2014 à 10h11 • Mis à jour le 17.12.2014 à 10h17 | Par Stéphane Lauer (New York, correspondant)

Les tatouages et les piercings sur les animaux de compagnie sont désormais interdits dans l’Etat de New York. Les contrevenants s’exposent à une amende ou à une peine de prison.

On ne badine pas avec la condition animale à New York. Alors que la mairie tente de faire interdire les calèches de Central Park pour protéger les chevaux qui les tirent, le gouverneur de l’Etat, Andrew Cuomo, a signé, lundi 15 décembre, le décret d’application d’une loi interdisant de tatouer ou de pratiquer un piercing sur un animal de compagnie. « Il s’agit d’un abus pur et simple, a déclaré le gouverneur. Je suis fier de signer cette loi de bon sens et de proscrire une fois pour toutes à New York ces pratiques cruelles et inacceptables. »

L’origine de la décision remonte à 2011, lorsqu’une élue locale, la démocrate Linda Rosenthal tombe par hasard sur Internet sur la vente de « chatons gothiques », des animaux auxquels on avait infligé des piercings dans les oreilles ou sur le dos. Quelques mois après, un artiste de Brooklyn avait ravivé la polémique en postant sur Instagram une photo de son chien sur lequel il avait tatoué un cœur percé d’une flèche, le tout entouré d’un ruban avec deux prénoms inscrits « Alex » et « Mel ». « L’une des nombreuses raisons pour lesquelles mon chien est plus cool que le vôtre », indiquait la légende de la photo, qui entre-temps a été supprimée.

CONSENSUS POLITIQUE POUR PROTÉGER LES ANIMAUX

Même si la cruauté envers les animaux était déjà réprimée, la législation locale était jusqu’à présent muette sur les tatouages et les piercings. Une fois n’est pas coutume, la loi a fait l’objet d’un consensus entre Démocrates et Républicains.

« Les animaux ne peuvent pas protester contre le fait qu’on leur inflige des pratiques douloureuses », a souligné le Sénateur républicain Tom Libous, qui s’est félicité d’avoir « interdit cette pratique sans cœur ».

« Les gens peuvent choisir de se faire tatouer ou percer leur propre corps, mais leurs animaux de compagnie ne jouissent pas du même luxe », a déclaré pour sa part Mme Rosenthal. « Quiconque soumettrait un animal à une douleur inutile et le ferait souffrir pour en faire un accessoire de mode se rendrait coupable d’un crime et avec ma loi, il s’exposera désormais à de sévères sanctions ». Tatouer ou pratiquer un piercing sur son animal de compagnie dans l’Etat de New York est désormais passible de quinze jours de prison et/ou une amende de 250 dollars. Les tatouages qui servent à identifier les animaux seront toutefois toujours tolérés.

Stéphane Lauer (New York, correspondant)
Correspondant à New York

La ville de New York s’attaque aux DEEE

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par zegreenweb, Mercredi 17 décembre 2014

En 2012, les Etats-Unis détenaient le record mondial de production de DEEE (Déchets d’Equipements Électriques et Électroniques) par habitant. La ville de New York a décidé de s’attaquer sérieusement à ce fléau qui touche particulièrement les pays développés.

La grosse pomme a décidé de donner l’exemple. A partir du 1er janvier 2015, l’une des bonnes résolutions de la ville consistera en l’interdiction de jeter dans les poubelles classiques les déchets d’équipements électriques et électroniques, parmi lesquels les téléviseurs, ordinateurs, jeux vidéos, consoles, tablettes ou encore smartphones, dont les habitants sont particulièrement friands et qu’ils renouvellent à un rythme effréné sans pour autant toujours se soucier de ce qu’il va advenir de leurs anciens équipements. Ces derniers représentent en effet un véritable danger pour l’environnement et nécessitent un traitement particulier, et donc d’être triés en amont.

Plusieurs solutions de recyclage sont mises à la disposition des New-yorkais, à l’image de ce qui peut exister en France, avec des organismes dédiés tels que EcologicLa filière mise en place permettra, au delà de combattre le fléau de ces déchets, de réutiliser une partie des matériaux extrait lors de leur recyclage. Dans le cas où les anciens équipements sont toujours en état de marche, une autre solution est également de les revendre. De nombreuses bourses d’échange existent. New York a désormais la sienne : NYC Stuff Exchange. A suivre.

Immobilier : New York, New York !

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Le promoteur immobilier chinois Groenland Holding vient de présenter ce qui pourrait être le plus grand projet immobilier à New York depuis ces vingt dernières années.
Groenland USA a annoncé en début de semaine avoir développé le plan d’un logement abordable dans le centre de Brooklyn avec son partenaire américain Forest City Ratner Companies.
Le bâtiment de 18 étages qui sera construit au 535, avenue Carlton devrait comprendra 298 unités «100% abordable» pour les ménages à revenu faible et modéré ou intermédiaire.
Ce projet fait partie du projet multitower Pacific Park de Brooklyn, auparavant connu sous le nom de Atlantici Yards. Le groupe Groenland a évoqué un investissement de 4,9 milliards de dollars.
Avec un chiffre d’affaires de 41 milliards de dollars en 2013, la firme basée à Shanghai est l’un des plus grands conglomérats chinois portant sur l’énergie, la finance et l’immobilier.
Le promoteur est entré sur le marché américain en 2013, alors que des doutes frappaient le marché chinois. Après avoir notamment investi en juillet dernier 1 milliard de dollars dans le Metropolis à Los Angeles.
En vertu des règlements du programme de New York, pour de nouveaux développements ou agrandissements de surface au sol de plus de 50% dans les zones désignées qui allouent au moins 20% de la surface des zones résidentiel au logement abordable, les constructeurs pourront recevoir des bonus et subventions.
Le projet de logement abordable, qui devrait ouvrir à l’automne 2016, est le deuxième du genre pour Groenland et son partenaire au Pacific Park.
Sur les 6430 unités qui doivent être livrées, plus d’un tiers seront des logements à prix maîtrisés.
Pour Zhu Yiming, analyste senior chez China Real Estate information,étant donné que des projets similaires dans les économies développées ont été exploités avec profit, la rentabilité du projet de New York ne devrait pas être une cause majeure de préoccupation.
La position du Groenland dans le marché des capitaux pourrait stimuler la solidité financière de l’entreprise, a-t-il ajouté.
Une partie des activités de l’entreprise est cotée à Hong Kong, et la société s’apprête a répertorié l’ensemble de ses activités à Shanghai.
Yan Yuejin, chercheur à l’E-House (Chine),reste lui plus prudent, en déclarant que ce genre de loyers signifie qu’il faudra du temps pour récupérer l’investissement.
«La force du groupe chinois est davantage axé sur le développement de propriétés commerciales, et cela demandera également du temps à l’entreprise pour consolider et comprendre les pratiques locales».
Le président du groupe Groenland, Zhang Yuliang, a déclaré au Wall Street Journal que son entreprise doit continuer à s’activer pour alimenter son expansion mondiale, y compris se familiariser avec les taxes et les lois locales, et en ajustant ses ambitions en fonction du nombre de ses employés.
La société chinoise a été propulsée sur la scène mondiale, après avoir investi environ 20 milliards de dollars dans plusieurs projets d’outre-mer depuis 2013 et est présent aujourd’hui dans 13 villes de neuf pays, dont les Etats-Unis, l’Australie et la Grande-Bretagne.
Groenland s’attend à que son chiffre d’affaires à l’étranger à partir de préventes-ou de ventes d’unités avant une finalisation approche cette année les 4 milliards de dollars.

New York: un verre et plus à l’Algonquin

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Le blog de Gilles Pudlowski

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Entrée © GP

L’Algonquin? Cette espèce vieille chose historique, millésimée 1902, qui a vu passer, au moins, Scott Fitzgerald, Ernest Hemingway, Gertrude Stein, James Thurber, William Faulkner, Sinclair Lewis, John Updike, Philip Roth et tant d’autres écrivains US, a su garder le cachet du passé. On vient là pour le charme feutré et discret du lieu, prendre place sur l’un des canapés rénovés de l’Oak Room, sous les fresques dédiées aux hôtes illustres – on s’amuse à reconnaître là Betty Grable, là Bette Davis, là les Marx Brothers – ou pour un cocktail à l’ancienne comme le Rye Manhattan.

La bonne petite surprise de ce lieu mythique est que l’on peut aussi y grignoter, à petits prix, un mini sandwich Reuben au pastrami, une salade Caesar, une pizza, une boule de mozzarella frite ou encore un empanada à la viande farcie et au guacamole, bref toutes sortes de nourritures vaguement exotiques, mitonnées sans génie certes, mais qui ne tirent guère à conséquence et ne ruinent guère, permettant simplement de prolonger le moment de nostalgie dans cette salle sombre et boisée, simplement hors du temps. Le piano-bar à côté est censée avoir lancé quelques carrières jazzy vers la gloire comme celle d’Harry Connick Jr.

Oak Room, à l’Algonquin Hotel, 59 West 44th Street (entre 5e and 6e avenues) New York. Tél. 212-840-6800. Carte: 25 $.

Site: www.algonquinhotel.com

Encore une défaite pour les knicks

New York se prend 20 points à domicile par Dallas

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Publié par : ClemFiz décembre 17, 2014 , 4:52 dans Knicks, Mavericks, Résumés et highlights NBA

Pour le retour de Tyson Chandler (8 points à 4/5 et 14 rebonds) au Madison Square Garden, les Knicks n’ont pas fait de miracle et s’inclinent 107-87. New York (5V-22D) fonce droit dans le mur dès le début du match et paye son premier quart-temps désastreux tout le long du match Dirk Nowitzki (qui ne joue même pas le quatrième quart-temps) termine tranquillement meilleur marqueur des Mavericks (18V-8D) avec 16 points (5/11, 5 rebonds, 5 passes).

Dallas (50.6% de réussite et 15/33 à 3-points) , équipe qui score le plus en NBA, s’est fait plaisir en démarrant son match sur un 34-15 et un joli 13/16 aux tirs. Dans les premières secondes, Chandler est immédiatement servi dans la peinture et plante le premier panier du match sur un dunk. Derek Fisher décide alors de sortir tout son cinq majeur du terrain alors qu’il reste 5″20 à jouer dans le premier quart-temps. Portés par Carmelo Anthony (26 points à 11/23, 5 rebonds 4 passes et 4 interceptions) et 14 de Tim Hardaway Jr (5/17), les Knicks (44% et 5/21 à 3-points) passent u 17-2 aux Texans pour revenir à 36-32 dans le deuxième quart. Mais Dallas récupère un avantage de plus de 10 points à la mi-temps et ne fera qu’accroître son avance dans la suite du match.

Monta Ellis apporte 14 points alors que Chandler Parsons, pur son retour après un match d’absence en raison d’un dos douloureux, score 13 points. Chandler signe lui son 12e double-double de la saison (il n’en comptait que 16 sur toute la saison avec les Knicks l’année dernière). À noter que Carmelo Anthony a passsé Mitch Richmond au classement des meilleurs scoreurs NBA (37e place avec 20 520 points). Le prochain sur la liste est George Gervin avec 20 708 points.

Prochain rendez-vous à Detroit pour les Mavericks mercredi. New York rendra visite à Chicago jeudi.