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À New York, ils font la fête de 6h à 9h du matin avant d’aller au travail

The Huffington Post | Par Carly Schwartz et Jessica Kane
Publication: 20/11/2014 07h44 CET

INSOLITE – Juste avant de commencer votre journée de travail, que diriez-vous d’une… virée sur le dancefloor d’un bateau de croisière? Oui, ce concept de fête aux aurores, qui commence tout doucement à faire parler de lui à New York depuis plusieurs semaines, n’est pas une blague.

Tous les jeudis matins, entre 6h et 9h, ils sont des centaines à braver la fatigue pour aller danser énergiquement aux sons d’un DJ, exactement comme lors d’une soirée en discothèque. Et à bord de ces croisières matinales hebdomadaires sur l’Hudson River, pas d’alcool au bar. Non, les jeunes actifs new-yorkais, qui mettent deux ou trois heures plus tard le cap vers le bureau, se gavent de barres de céréales, de café et de jus de fruits vitaminés, distribués à volonté.

Beaucoup viennent déguisés, semblant faire abstraction totale avec du monde de l’entreprise qui les attend un peu plus tard dans la matinée. D’autres, plus calmes, viennent pour participer à des séances de yoga, de méditation et de massages, dispensées en des endroits moins agités du bateau.

La philosophie des deux Américains qui ont créé ce concept de matinées festives, baptisé Daybreaker? Faire la fête de manière insolite et pouvoir embrasser la journée d’une manière joyeuse et ouverte.

Deux de nos collègues du HuffPost US ont tenté l’expérience cet été, rapportant quelques témoignages et photos de leur virée aux aurores, à découvrir ci-dessous:

« Je suis ici parce qu’il n’y a pas de meilleure façon de commencer la journée, avec des gens extraordinaires, de la musique et une atmosphère. Quand vous vous réveillez en même temps que le soleil, il n’y a pas de plus belle façon de commencer la journée » – Scott, 23 ans;

« C’est quelque chose de différent que les gens ne font pas en commençant leur journée. C’est l’un de ces trésors cachés de New York pour le moment » – Brandon, 38 ans;

« Il vaut mieux ça que la salle de gym » – Erin, 30 ans;

« Une pure inspiration » – John, 26 ans;

« Je suis du Colorado et nous ne disposons pas de ce genre de choses là-bas » – Scott, 46 ans;

« On n’a jamais besoin d’une raison pour danser » – Sophie, 31 ans;

« Je suis ici pour me mettre en éveil spirituel » – Mark, 34 ans;

« Je viens de dansé si intensément que mon cerveau est cuit! » – Felicity, 28 ans;

« L’obscurité de la matinée se change instantanément en lumière dans les cinq minutes avec cette fête » – John, 34 ans;

« Lorsque vous êtes ici, la positivité est contagieuse. Dès que la musique commence, votre humeur est portée vers le haut. Et elle va vous transporter toute la journée. Au moment où vous partez d’ici, votre visage a mal d’avoir tellement souri » – Rebecca, 29 ans.

La neige dans l’état de New York

Plus d’un mètre de neige dans l’Etat de New York, même si l’hiver n’a pas commencé
En gros, font valoir les responsables locaux, la nature aura déversé sur la région autant de neige en trois jours qu’elle le fait d’ordinaire chaque année.

19.11.2014 17:47

Un véritable blizzard s’est abattu sur l’ouest de l’Etat de New York, signalent les autorités, déversant jusqu’à 1,5 m de neige alors que le thermomètre plongeait. On signale au moins six morts, un bilan qui devrait s’alourdir, alors que les habitants se préparent à l’arrivée d’une nouvelle tempête mercredi soir, qui pourrait ajouter 1 m supplémentaire de poudre blanche à la première couche.

En gros, font valoir les responsables locaux, la nature aura déversé sur la région autant de neige en trois jours qu’elle le fait d’ordinaire chaque année.

Parmi les morts : un homme de 46 ans, retrouvé dans la voiture, ensevelie sous environ 3 m de neige.

Aucun Etat de l’Union n’a été épargné par le froid. Même à Hawaii, sur le volcan Mauna Kea, il a gelé. Même chose dans tout le nord de la Floride.

Le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, a déclaré l’état d’urgence dans dix comtés, et déployé la Garde nationale pour venir en aide aux habitants.

Les Américains, qui ont connu un hiver particulièrement brutal l’année dernière, redoutent un retour du vortex polaire. Ce vortex est un tourbillon de vents très violents qui en temps normal, maintient l’air froid au-dessus de l’Arctique. Il est associé au Jet Stream, un bandeau de vents qui sépare l’air froid de l’air chaud.

En hiver, ces deux courants peuvent former des méandres qui peuvent descendre très au sud, dans le centre des Etats-Unis, puisque les grandes plaines sont incapables de les bloquer. En se déplaçant ainsi, ils laissent alors pénétrer l’air frigide vers des latitudes moyennes. Résultat : l’air froid plonge vers le sud, gagnant jusqu’au golfe du Mexique

des infos sur les knicks

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New York : « Melo » touché à un genou
.Touché à un genou depuis le début de la saison, l’ailier des New York Knicks Carmelo Anthony aurait aggravé sa blessure lors de la défaite contre les Milwaukee Bucks.

Melodrame » à New York. Gêné depuis le début de la saison par une douleur un genou, Carmelo Anthony l’aurait aggravé mardi lors de la défaite des Knicks à Milwaukee (117-113). Sorti au cours du second quart-temps, l’ailier de 30 ans était revenu sur le parquet du Bradley Center quelques minutes plus tard. Il avait finalement terminé la rencontre avec 26 points (à 10/17) en 37 minutes de jeu. Un bilan qui a rassuré les ans des Knicks sur son état de santé. Et pourtant. Selon ESPN, les douleurs de Carmelo Anthony sont loin d’être un souvenir. « C’est douloureux depuis le match contre Cleveland probablement. J’ai passé quelques examens, je ne sais pas exactement ce qu’il en est, a expliqué « Melo » à l’issue de la rencontre. Mais il s’agit de ne pas y penser et jouer malgré la douleur. »

En difficulté depuis le début de la saison avec neuf défaites en douze matchs, New York n’a vraiment pas besoin de la blessure de son franchise player. Et dans une tentative de se convaincre lui-même, Derek Fisher l’a affirmé : Carmelo Anthony ira bien. « Nous avons joué beaucoup de matchs en peu de temps. Carmelo porte évidemment beaucoup sur lui, a d’abord confié le manager des Knicks. Mais je suis sûr qu’il ira bien. Nous allons garder un œil sur lui et nous en assurer. »

Fin des arrestations pour moins de 25 g de cannabis

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Le maire démocrate de New York Bill de Blasio a annoncé lundi que les personnes en possession d’une quantité inférieure à 25 grammes de cannabis ne seront plus arrêtées, mais elles continueront à être mises à l’amende.

Un nombre trop élevé de New-Yorkais dont le casier judiciaire est vierge sont arrêtés pour possession de petites quantités de cannabis. Nous avons assisté à une forte baisse du nombre d’arrestations inutiles. Aujourd’hui marque une étape importante», a déclaré M. de Blasio lors d’une conférence de presse organisée avec le chef de la police de la ville, Bill Bratton.

La nouvelle législation entrera en vigueur le 19 novembre et ne prévoit plus d’arrestation pour les détenteurs de moins de 25 grammes de cannabis. En revanche, ils seront cités à comparaître et devront s’acquitter d’une amende pouvant aller jusqu’à 100 dollars, a précisé M. Bratton. Selon Bill de Blasio, la mesure vise surtout à éviter aux jeunes de devoir porter le fardeau d’une «erreur» de jeunesse toute leur vie.

Sa propre fille, Chiara, 19 ans à l’époque, avait reconnu l’an passé qu’elle souffrait de dépression et qu’elle avait consommé de l’alcool et fumé du cannabis. La loi fédérale américaine interdit toujours de consommer, vendre ou posséder du cannabis, mais deux Etats, le Colorado (ouest) et Washington (nord-ouest), l’ont légalisé.

L’Oregon, l’Alaska et la capitale fédérale Washington ont également approuvé sa légalisation la semaine dernière par référendum. En janvier, le gouverneur de l’Etat de New York, Andrew Cuomo, a autorisé son utilisation à des fins médicales.

(afp)

Une critique de Manhattant Ghost

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Manhattan Ghost de Philippe Ward & Mickaël Laguerre

Lisa est une policière native de New-York et qui a la ville dans la peau. Amatrice de musique, elle passe une partie de ses soirée à jouer du piano et à chanter dans un pub. Alors qu’elle est en train d’assister au Manhattanedge, elle se retrouve face à Peter, mort quelques années plus tôt : il vient lui demander son aide pour résoudre une enquête sur la disparition de John Lennon.

Cette courte nouvelle va nous plonger dans le New-York des musiciens, des artistes. Philippe et Mickael ont su lié textes et images sans donner une prépondérance à l’un ou l’autre. Nous avançons avec la jeune héroïne qui a du concilier passion (la musique) et raison (le métier de policière). Les images, nombreuses et en couleurs, vont nous montrer le cheminement de la new-yorkaise dans la recherche du disparu qui n’est autre que John Lennon.

Nous découvrons au travers des différents personnages connus que nous rencontrerons, toute la richesse de cette ville. Ceux qui connaissent la grosse pomme pourront ainsi découvrir un autre visage de cette ville qui ne s’arrête jamais.

A noter, que le prix de cette novella-Art book est plus que raisonnable quand on voit le format et le nombre de photos couleurs (1 par double page) présentes dans le livre.

Black Coat Press (Juillet 2014) – Rivière Blanche – 60 pages – 10.00€ – 9781612272986
Texte : Philippe Ward
Photos : Mickaël Laguerre

Elle attendit que son cœur reprenne un rythme normal avant de se décider à gagner le bar. Elle allait être en retard maintenant. — Bonjour Lisa. La jeune femme se retourna brusquement, surprise d’être ainsi abordée dans ce quartier. — Peter, mais que fais-tu ici ? Elle s’arrêta soudain, consciente de l’incongruité de sa question. Peter Monoghan était décédé trois ans plus tôt d’un cancer généralisé dû au surmenage, à l’alcool et surtout à l’abus de cigarettes. Et il se trouvait face à elle, vêtu du costume bleu que Lisa lui avait toujours connu. Ses épaules étaient plus voûtées, son visage plus pâle que dans ses souvenirs. Il lui souriait. — Tu es resplendissante, comme toujours.

Lisa Kilpatrick, une pure New-Yorkaise, travaille dans la police, mais sa véritable passion demeure la musique. Un soir par semaine, après son service, elle joue du piano et chante dans un club new-yorkais. Un jour, elle assiste au Manhattanedge. Un soir par an, le soleil couchant se retrouve juste au milieu de la 14th Rue, dans un alignement parfait vers l’Ouest. Et là, elle va basculer dans un autre monde, celui des Fantômes de Manhattan.

Ny un livre : American Ground de William Langewiesche

« American Ground. Déconstruire le World Trade Center », de William Langewiesche : des hommes et des machines
LE MONDE DES LIVRES | 22.09.2011 à 16h29 | Par Amaury da Cunha

Autopsie d’un crime, archéologie du présent ? Difficile de qualifier l’incroyable projet de William Langewiesche.
Alors qu’à nouveau les images de l’effondrement des tours ont été diffusées en boucle, dix ans après l’événement, la lecture d’American Ground est salutaire : elle réveille, stimule, réjouit. Dans ces pages, vous n’entendrez aucun chant de deuil, mais le bruit incessant des machines et des hommes engagés dans une action commune : déblayer Ground Zero.

Rien n’échappe au regard de William Langewiesche. Car pour lui, le meilleur comme le pire doit être raconté. Dans une écriture froide comme de l’acier qui privilégie la description plutôt que le commentaire émotionnel, Langewiesche balaie le site de fond en comble. Il relève ses dysfonctionnements internes (tensions, pillages, querelles de territoires), mais il montre aussi des magnifiques exemples de fraternité.

Comme une caméra posée sur un trépied, l’écriture de Langewiesche donne à voir et à entendre. Ce sont, par exemple, les mots crus d’un médecin légiste, écouté au milieu des décombres, et que l’on n’oubliera pas : « Ce qu’il faut comprendre, c’est qu’il y a une différence entre la cause de la mort, le mécanisme de la mort et le type de mort ».

A travers les nombreux portraits qu’il a pris sur le vif et ses descriptions épiques du travail des machines, Langewiesche confirme à chaque instant son art de savoir restituer la vie. Elle grouille encore dans un décor macabre.

Et American Ground laisse entendre que le plus bel acte de résistance aux attaques terroristes s’est sans doute joué dans le démantèlement du site.

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AMERICAN GROUND. DÉCONSTRUIRE LE WORLD TRADE CENTER de William Langewiesche. Traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Thierry Gillyboeuf. Ed. du Sous-Sol, 224 p., 17 €.

une école du chocolat à NY

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TAIN-L’HERMITAGE
Valrhona vient d’ouvrir une école du chocolat à New York

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12345 Après Tain, Paris et Tokyo, c’est au tour de New York. En effet, la manufacture tainoise vient d’ouvrir une nouvelle école du chocolat en plein cœur du quartier de Brooklyn. Cette école a été installée dans le bâtiment d’une ancienne usine de chaussure. Elle permet, désormais, à la chocolaterie tainoise d’accueillir les chefs pâtissiers américains dans un lieu qui leur est spécialement dédié. Des pâtissiers qui peuvent ainsi suivre des modules de formation, découvrir les chocolats Valrhona, confronter leurs idées et leur savoir-faire. Cette école se voulant avant tout un lieu d’échange et de création. Photo : Alexander AYER

Le job de rêve à New York c’est…éboueur

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Publié par Guichaoua Virginie, le 18 novembre 2014

Au contraire de nombreux endroits dans le monde, à New York les éboueurs sont rois ! Considérés comme de véritables héros, les agents d’entretien de la Grosse Pomme estiment posséder un job en or, avec le salaire très confortable qui va avec !

Lorsque l’on pense au métier d’éboueur, bien souvent il est difficile de considérer cette profession comme privilégiée. Sauf peut-être à New York où là-bas les places sont chères et les listes d’attente interminables pour avoir la chance d’exercer cette profession pourtant souvent dévalorisée.

Des salaires très attractifs

Estimé ailleurs comme un emploi peu gratifiant, à New York au contraire, tout le monde se presse pour devenir éboueur. Selon le quotidien néerlandais Algemeen Dagblad, pas moins de 94.000 New-Yorkais souhaiteraient ainsi exercer ce métier alors qu’en réalité seulement 500 postes se libèrent chaque année.

Mais alors pourquoi un tel engouement pour un emploi jugé salissant, difficile et fatiguant ? Tout simplement pour le salaire très confortable que gagnent ces agents de propreté urbaine. Pour exercer sa fonction, un éboueur de New York gagnerait 34.000 dollars (27.000 euros) par an et pourrait voir son salaire annuel grimper à 70.000 dollars (56.000 euros) après les 5 premières années d’activité. De quoi motiver les candidats qui se bousculent au portillon pour décrocher ce travail qui, en plus, ne demande pas de qualifications particulières.

« Pas besoin d’avoir été à l’université. Tout ce dont vous avez besoin, à l’exception de vos muscles et d’être en bonne santé, c’est d’un permis de conduire pour camion », explique Belinda Mager du Department of Sanitation de New York City.

Considérés comme des héros

En plus d’être bien payé, ce métier à New York est extrêmement valorisé. Loin d’être vu comme un emploi mineur, celui-ci est considéré comme utile et même vital pour le bon fonctionnement de la ville. « Les éboueurs font tourner la ville. S’ils ne faisaient pas leur boulot, cette ville serait dans un état déplorable. Ce n’est pas pour rien que ces hommes et ces femmes sont considérés comme des héros à New York », explique encore Belinda Mager.

Pour ceux qui accèdent à la profession, ils sont ainsi nombreux à considérer qu’ils ont comme gagné à la loterie. Mais pour y arriver, il faut faire preuve de patience. Parfois les aspirants-éboueurs doivent attendre près de 8 ans pour qu’enfin une place se libère

New York: le plus grand panneau numérique du monde inauguré mardi soir à Times Square

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Le plus grand et le plus cher panneau publicitaire du monde va être mis en service mardi soir, à Times Square, au coeur de New York. La bête est longue comme un terrain de foot. Si vous voulez y affichez vos produits, il vous en coûtera 2.4 million par mois.

Les Américains aiment faire les choses en grand. Et, quand ça se passe à New York, ça se doit d’être encore plus grand.

Depuis plusieurs semaines, sur Times Square, les passants sont confrontés à une immense horloge numérique qui a le don d’intriguer.

The biggest digital billboard in #TimesSquare is waiting for its moment to shine. pic.twitter.com/aUvsX8Ropv

— Times Square (@TimesSquareNYC) 17 Novembre 2014

Selon le New York Times, il s’agit en fait du plus grand et du deuxième plus cher panneau publicitaire numérique du monde. Le monstre mesure plus de 100 mètres de long, soit la taille d’un terrain de football, pour 25 mètres de haut, ce qui correspond plus ou moins à un immeuble de 8 étages.

Ce n’est pas le plus grand du monde, puisqu’en Arabie Saoudite, un panneau de 250 mètres de long, par 12 de haut, a été développé par LG près de l’aéroport King Khaled. Selon le Livre Guiness, c’est officiellement lui qui détient le record du genre. Mais il n’est pas numérique!

elui de New York s’étire tout de même entre la 45e et la 46e rue à Broadway, au centre de Times Square. Il est composé de 24 millions de pixels LED.

Pour le louer, il faudrat débourser 2,4 millions de francs par mois! Dès mardi soir et jusqu’au 24 novembre, c’est une exposition d’art digital qui y trouvera place. Puis, c’est le géant Google, qui va s’y installer pour une méga-campagne de promotion qui s’étendra jusqu’à Nouvel An.

Le jeu en vaut probablement la chandelle. A Times Square, pour être vu, il faut être grand, très grand. 300’000 personnes y passent en moyenne chaque jour. Si les New Yorkais ne prennent plus vraiment la peine de lever la tête pour regarder les panneaux lumineux, les touristes ont les yeux rivés vers le ciel.

Selon un récent sondage, pour 80% des gens, les panneaux apportent une plus-value à Times Square, 50% les prennent en photo et 60% ont pris au moins 5 minutes pour les observer

UNE ÎLE AUX TRÉSORS FLOTTANTE À NEW YORK EN 2019

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PAR FANNY VEDREINE

New York s’apprête à accueillir le projet fou de l’architecte anglais Thomas Heatherwick, en collaboration avec Matthew Nielsen. Explications.

Après avoir été appelé pour réaliser un jardin suspendu sur un pont au dessus de la Tamise à Londres, l’équipe de Thomas Heatherwick s’est associée avec l’architecte paysagiste Matthew Nielsen pour mettre au point un projet plus ou moins équivalent à New York. En effet, à l’ouest de la 13e Avenue, se trouvera bientôt un îlot flottant sur la Hudson River (fleuve qui coule le long de la mégalopole). Ce projet surnommé Treasure Island, a pour but de restructurer le Pier 55 laissé à l’abandon, au profit d’un immense parc de 10,000 m2 monté sur des colonnes de 56 m de hauteur. Sur cet espace, un amphithéâtre de 700 places doit également être bâti vers l’horizon. L’objectif principal de Heatherwick étant de créer un espace culturel hors du commun et surprenant. Le financement de ce projet colossal – équivalent à 130 millions de dollars (environ 104 millions d’euros), a été majoritairement permis par la donation de Barry Diller et sa femme Diane Von Furstenberg. Selon Dezeen, les travaux devraient débuter en 2016 et terminer à la fin de l’année 2019.