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la police de NY

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voilà les lieux où travaille Lisa Kilpatrick, l’héroIne de Manhattan ghost (pub), le Commissariat dans la 30° street àpresque à l’angle de la 7° avenue. Il a vraiment de la gueule, je trouve. J’ai hésité et puis je n’ai pas eu le courage d’y entrer pour demander l’autorisation de le visiter. Tant pis….

Pour acheter Manhattan ghost, il est sur amazon, Rivière Blanche, ebay et chez moi…

Philippe

central perk

Première sortie après le camion de Coca.

comme il était de bonne heure, je me suis dit qu’il n’y aurait pas foule pour l’attraction du mois à New York. Les amateurs de Friends auront reconnu le Central Perk, identique ou presque à l’original, un attraction américaine, café offert, le canapé pour la photo, les costumes, les photos, il y a tout sauf les actrices et les acteurs. Mais ce n’est pas grave, et aux premières heures il y avait déjà du monde.

Voilà je suis allé au Central Perk

Mon rêve

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Voilà une de mes premières visions de New york. Il était 6 h du matin, j’étais comme un gamin le matin de noël qui attend de voir les jouets. Je me suis levé, et j’ai fait le tour du Madison square Garden, là où était mon hôtel. Et que vois-je, mon rêve, le paradis, un camion de coca Cola….

Je n’ai pas résisté. J’ai pris la photo et je me suis offert un coca, pas du camion… Dommage.

Un livre : Code Einstein – Mark Alpert

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Voilà un thriller classique à l’américaine. Des anciens assistants d’Albert Ainstein son torturés à mort les uns après les autres ? Que signifie le code que la dernière victime a eu le temps de révéler à David Swift, un jeune et brillant historien des sciences ? Devenu l’homme à abattre pour le FBI, traqué par un impitoyable tueur russe, David n’a que quelques heures pour percer les secrets du Code Einstein, sauver sa peau et l’humanité tout entière.

Le résumé dit tout.
On y retrouve des es bons et des méchants. Et à la fin ce sont les … qui gagnent.. Mais il y a quand même une histoire intéressante autour d’Albert, qui tient la route.

Le livre à lire pendant les vacances
Pourquoi ce roman ici, parce qu’il se déroule en partie dans New york.

New York une chanson : Frank Sinatra New York New York

La classique des classiques sur la Grosse pomme.

Theme from New York, New York (aussi connu sous le titre New York, New York) est la chanson thématique du film New York, New York de Martin Scorsese sorti en 1977.

Elle est composée par John Kander, avec des paroles de Fred Ebb. Cette musique appartient à Liza Minnelli, qui l’a aussi interprétée dans le film New York, New York.

Deux ans plus tard, en 1979, Frank Sinatra reprend la musique en y modifiant quelques paroles. Il l’enregistra pour son album Trilogy: Past Present Future (en), sorti en 1980.

voilà un extrait d’un livre que j’écris dont le titre provisoire est Manhattan Marilyn

Elle fredonna les paroles de New York, New York, la chanson qu’elle se chantait dans les moments difficiles. Elle prit son iPhone, arrêta Mana pour le remplacer par la version de Franck Sinatra, seul sans Liza. La seule interprétation qu’elle aimait. New York était un amant, pas une maîtresse. Et New York ne se partageait pas avec une autre femme, même Liza Minelli.

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I’m leaving today (Je pars aujourd’hui)
I wanna be a part of it, (Je veux en faire partie)
New York, New York (New York, New York)

Librairie Française à New York

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Je vais aller leur proposer Manhattan Ghost et les ouvrages de Black Coat Press

l’ambassade de France
Par Philippe Boulet-Gercourt
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Publié le 29-09-2014 à 16h53A+A-IElle vient d’ouvrir en plein cœur du quartier le plus chic de New York, l’Upper East Side, dans la magnifique demeure des services culturels français.
Librairie Albertine New York (c) Albertine Books

Pousser la porte d’une librairie et tomber sur une statue de Michel-Ange, ça jette. Vous montez un étage, une constellation commandée par Laurent de Médicis orne le plafond ! Le Michel-Ange est authentique, la constellation, une lointaine réplique de l’original. Mon tout ? Une librairie étonnante, en plein cœur du quartier le plus chic de New York, l’Upper East Side. Encore plus inattendu : elle se trouve dans la magnifique demeure qu’occupent les services culturels de l’ambassade de France, au 972, Fifth Avenue, au bord de Central Park et à quelques dizaines de mètres du Metropolitan Museum of Art.

L’idée a germé dans l’esprit du conseiller culturel. Son nom, Antonin Baudry, ne vous dira sans doute rien. Son pseudo, en revanche, est bien connu des fans de BD : c’est lui qui a écrit les dialogues de « Quai d’Orsay », sous le nom d’Abel Lansac. « J’étais frustré à l’idée que la Libraire française [au pied du Rockefeller Center] ait dû fermer ses portes en 2009, ne pouvant plus payer son loyer, raconte-t-il. Un beau jour, je suis tombé sur des archives et découvert qu’il y avait une grande bibliothèque au premier étage. Cela a fait tilt : pourquoi ne pas installer une librairie dans nos locaux ? ».

Un projet fou
Un projet un peu fou : il a d’abord fallu imaginer une entrée séparée pour la librairie, qui permette aux diplomates de continuer à occuper les lieux : une fois que l’on pénètre dans la splendide rotonde, on prend le grand escalier de gauche (pour les diplomates) ou bien l’on entre dans la librairie (pour les clients), en allant tout droit. Une fois à l’intérieur, un escalier séparé conduit au premier étage. Deuxième difficulté, trouver des sponsors pour financer les 5 millions de dollars de travaux. Après que la fondation Gould a amorcé la pompe, les grandes entreprises françaises ont vite compris l’intérêt d’associer leur nom au projet : LVMH, Van Cleef & Arpels, Lalique, Pommery, Société Générale, Total… Sans oublier quelques institutions et généreux donateurs privés. Troisième obstacle : Michael Bloomberg, le précédent maire, et Bill de Blasio, l’actuel, ont soutenu à fond l’aventure… mais celle-ci a failli se fracasser sur des problèmes d’autorisations administratives. La demeure, qui date du Gilded Age, se trouve dans l’un des quartiers historiques les mieux protégés de la ville.

Construire un business viable
Dernier défi : construire un business viable ! La tâche en incombe à François-Xavier Schmit, un excellent libraire de Toulouse recruté pour l’occasion. On sent une tension amicale entre Schmit et Baudry, un dingue de livres : Baudry rêve d’ouvrages intellectuellement haut de gamme et d’un festival de rencontres, débats, signatures… Schmit est en phase, mais il sait aussi que ses 14.000 références (livres en français pour une grosse moitié, traduction anglaise de livres francophones pour le reste) devront se vendre. Un invendu français à New York, c’est un livre qu’il faut renvoyer en France – hors de prix.

La petite histoire de l’Apple Store de New York

L’apple store de NY

Apple Store Cube à New-York, la petite histoire Rédigé par neilime

Il y a la grande histoire, celle, un peu folle, de la volonté d’Apple de posséder ses propres magasins à travers le monde pour écouler directement ses produits et nouer une relation plus forte avec ses clients. Mais il y a aussi la petite histoire, celle de la négociation pour la construction de chacun des magasins, et notamment la petite histoire de la construction de l’Apple Store en forme de cube sur la 5e avenue à New York. L’histoire commence par la rencontre du magnat immobilier Harry Macklowe avec le patron d’Apple, Steve Jobs, deux personnages présentés par George Blankenship, à l’époque en charge de l’immobilier chez Apple. Au cours de discussions, et alors que Jobs avait déjà en tête d’ouvrir un vaisseau amiral à New York qui soit ouvert 24h sur 27 et 7 jours sur 7, il vint l’idée d’utiliser un sous-sol situé sous la place devant le fameux bâtiment. Un sous-sol duquel CBS dû déménager un studio et qui serait surmonté du plus petit gratte-ciel du monde.

Macklowe et Jobs vinrent alors avec leur propre idée du cube qui devait surmonter ce magasin en sous-sol, 40 pieds de haut pour Jobs (un peu plus de 12 mètres), 30 selon Macklowe (9 mètres environ) qui fit construire une maquette en échafaudage de cette taille pour convaincre Jobs. Ce fut chose faite lors d’une réunion à 2h du matin sur place en raison de la législation sur ces types de construction la journée.

Un regret pour les avocats en charge de la négociation du contrat avec Apple : ne pas avoir négocié un pourcentage des ventes réalisées par Apple. Il faut dire que personne, et peut-être même pas Steve Jobs, n’avait imaginé combien ce magasin deviendrait célèbre dans le monde.

Les détails à lire sur NYMag.com :
The Untold Story of How the Apple Store Cube Landed in Midtown