un avis sur le roman Manhattan Marilyn par Paul Maugendre

http://leslecturesdelonclepaul.over-blog.com/2016/05/philippe-laguerre-manhattan-marilyn.html

Les hommes préfèrent les blondes ? Je demande sept ans de réflexion…

Philippe LAGUERRE : Manhattan Marilyn.

Si Marilyn n’avait connu un si tragique destin, l’aura dont elle jouit encore de nos jours serait-elle aussi brillante ? La question mérite d’être posée, mais vous n’aurez jamais la réponse.

Quoi qu’il en soit, Philippe Laguerre revient sur ce drame, ce destin brisé, mais également sur tout ce et ceux qui ont entouré cette étoile filante du cinéma.

Née d’un père émigré mexicain et d’une mère new-yorkaise, Kristin Arroyo milite au sein du mouvement Occupons Wall Street, avec pour slogan Nous sommes les quatre-dix neuf pour cent. A trente-quatre ans et dix années passées comme Marine en Afghanistan, elle vit seule et sans ami(e)s. Elle n’a pas eu une jeunesse facile, suivant des études à l’Université où elle était rejetée à cause de son côté Hispanique, puis l’enchaînement de petits boulots et enfin son engagement à l’armé deux mois après les événements du 11 septembre. Elle a obtenu le grade de lieutenant, profitant de ses permissions pour voyager puis elle a décidé de regagner New-York, vivant de son pécule et de l’héritage immobilier de ses parents.

A son retour elle se retrouve dans les mêmes dispositions d’esprit qu’à son départ, et sa solitude ne l’empêche pas d’analyser la situation de son pays. Elle avait compris que les lobbies pesaient toujours plus sur la société, au pont de devenir plus important même que le bulletin de vote des citoyens américains. Et c’est ainsi qu’elle s’engage dans ce mouvement dénonçant une Amérique malade de la crise économique.

En ce 12 octobre, parmi la foule qui défile dans le parc Zuccotti, elle percute un homme qui photographie les participants de cette manifestation. Il se présente, Nathan Stewart, photographe professionnel, et il aimerait réaliser plusieurs clichés d’elle et sur le combat qu’elle mène. Au départ réticente, elle cède devant les arguments de ce quinquagénaire sympathique et une semaine plus tard elle se rend dans sa galerie afin de sélectionner les photos susceptibles d’être intéressantes pour figurer dans une exposition.

En discutant avec Nathan, elle se souvient qu’elle possède une malle héritée de son grand-père, Edward Pyle, lui même photographe. Or ce qu’elle ignorait c’est qu’il était connu et reconnu dans la profession, et parmi les nombreux clichés qu’elle déniche, figurent des portraits de nombreux artistes des années 50 et 60, dont quelques tirages représentant Marylin Monroe. Nathan examine soigneusement les tirages et est interloqués par certaines d’entre elles. L’une d’elle représente Marilyn dans le désert, avec en arrière-plan une fusée. Un détail anachronique, mais d’autres photos présentent elles aussi des détails troublants.

Aussitôt Nathan décide d’organiser une autre exposition mettant en parallèle Kristin et Marilyn et lors de ce que l’on peut appeler le vernissage, elle s’aperçoit que cette rétrospective attire du monde. Notamment Michael Pear, un jeune homme qui travaille à la Fondation Monroe, un ami de Nathan. Michael, un golden boy, représente tout ce que Kristin combat, l’argent gagné facilement. Deux mondes qui s’affrontent, mais si les atomes ne sont pas crochus à leur première rencontre, bientôt ils vont tisser une complicité qui ne demandera qu’à s’exprimer plus amoureusement. Nathan n’a pas exposé toutes les photos et alors qu’il en montre certaines à Michael, un homme s’approche et sans vergogne les compulse. C’est le début d’une aventure dans laquelle Nathan va perdre la vie, et à laquelle Kristin est mêlée à son corps défendant. Car ces photographies attisent la curiosité et n’auraient jamais dû sortir de leur cachette recélant un secret d’état.

Des policiers, des agents du FBI, des membres d’une organisation nommée le Triangle de Fer défiant les lois et passant au-dessus des régimes politiques, et d’autres, n’auront de cesse de prendre Kristin pour cible, et Michael par la même occasion.

Tout est lié à ces photographies représentant Marilyn et si mystère il y a , il faut le percer afin de battre leurs adversaires qui ne manquent pas d’arguments frappants tout en défendant leur vie. Et remonte alors à la surface les thèses d’un complot, d’un faux suicide, d’un meurtre déguisé, avec pour principaux protagonistes le président américain de l’époque, et son frère, leur implication dans le décès de la vedette. Il s’agit de la recherche d’une vérité engluée dans les rumeurs et les thèses diverses, peut-être plus farfelues les unes que les autres, avancées pour cacher une réalité bien plus embarrassante.

Un roman ambitieux qui tient toutes ses promesses. Philippe Laguerre part d’une hypothèse qui pourrait être jugée saugrenue, insolite, mais parvient à la rendre crédible grâce à cette magie des explications étayées avec rigueur. L’invraisemblable peut cacher des vérités encore plus incroyables que la réalité et il n’est pas vain de rêver que tout ceci pourrait être vrai.

Mais au-delà du mythe Marilyn et des mésaventures vécues par Kristin et ses amis, c’est Manhattan qui se trouve en vedette. Philippe Laguerre ne décrit pas cet arrondissement de New-York comme un guide touristique mais en voyageur-explorateur tombé amoureux de cette portion de ville dans la mégapole.

Et surtout c’est le regard porté sur ses habitants, ou plutôt une frange de la population dédaignée par les administrations et les politiques. Les vétérans du Vietnam et de l’Afghanistan, des valides partis combattre pour la renommée de la patrie et rentrés éclopés, délaissés, abandonnés, trouvant refuge dans des coins improbables, dans des tunnels, mais qui possèdent encore l’honneur de survivre sans devenir des hors-la-loi.

Si le mythe de Marilyn sert de prétexte, quoi que l’égérie du cinéma y figure de façon prégnante, on croirait même presque la voir, ce roman est également une diatribe contre les agissements des multinationales qui passent les lois des Etats pour affirmer leur prépondérance financière, économiques, au détriment de la population. D’où ce mouvement des Quatre-dix neuf pour cent, qui représente le pourcentage de pauvres par rapport à celle des nantis.

Un regard sans concession et une intrigue diabolique qui monte en puissance au fil des chapitres qui s’enchainent inexorablement, un peu à la manière des feuilletons d’antan. La dernière phrase relançant l’action qui va suivre.

Depuis toujours, le monde appartient aux grosses fortunes. Elles sont au dessus des frontières et des lois. Elles rachètent les médias, paient les campagnes présidentielles et diffusent des divertissements abrutissants.

Nous parlons bien des Etats-Unis, non ?

Victime de son succès, le métro de New York au bord de l’asphyxie

ActualitéMonde Par AFP , publié le 22/05/2016 à 15:38 , mis à jour à 15:38

New York – La fréquentation du métro de New York, l’un des plus anciens au monde, ne cesse d’augmenter, au point de placer certaines lignes au bord du chaos et de pousser la régie des transports à une course contre la montre.
A Brooklyn, des passagers prennent le métro dans l’autre sens le matin, simplement pour avoir une chance de monter à bord quelques stations en amont et de se rendre à Manhattan.

La capacité des rames est pourtant supérieure de plus de moitié à celles du métro parisien.

« J’ai vu deux femmes se tirer les cheveux après s’être rentré dedans », raconte Ana Fernandez, reconnaissant néanmoins que les altercations sont rares.

Dans certaines stations, il arrive même de devoir attendre pour accéder au quai, inaccessible car noir de monde.

« Parfois, je dois laisser passer plus d’un train » avant de pouvoir monter, explique Cynthia Martinez, qui vient de laisser passer une rame de la ligne 6, bondée.

« Nous sommes victimes de notre succès », résume Kevin Ortiz, porte-parole de la régie des transports de New York, la Metropolitan transportation authority (MTA).

Quelque 1,76 milliard de trajets ont été effectués en 2015 dans le métro new-yorkais, un record depuis 1948 et une hausse de 61% en 20 ans.

La population nette de la ville a augmenté de près d’un million depuis 1994, et la délinquance dans le métro s’est effondrée d’environ 90% depuis son plus haut au début des années 1990.

Depuis 1981, 115 milliards de dollars ont été investis pour remettre à niveau le réseau qui était, à l’époque, « en état de décomposition », selon M. Ortiz.

« Le système est en bon état. Les trains sont sûrs et propres, et les pannes sont rares. La surpopulation est davantage source de problèmes », observe David King, professeur d’urbanisme à l’université Columbia.

La fermeture possible pour 18 mois de travaux du tunnel de la ligne L, qui relie le quartier tendance de Williamsburg à Manhattan, pourrait faire monter encore d’un cran la tension.

Au coeur de la fourmilière, les lignes 4, 5 et 6 –qui circulent sur le même axe ferroviaire– sont plus fréquentées que la totalité des réseaux de Chicago, Boston et Washington réunis.

« Je pars plus tôt, avant le +rush+ », explique Mme Fernandez, qui emprunte ces fameuses lignes et s’astreint à être sur le quai avant 08H30.

Et les retards, en augmentation selon un récent rapport du New York State Comptroller, ajoutent à la situation.

Pour la MTA, ils sont en bonne partie dus aux travaux sur les voies, car le métro circule 24 heures sur 24.

– Technologie à la rescousse –

« C’est clairement un défi de faire face à cette demande croissante », reconnaît M. Ortiz, expliquant que la MTA « prend des mesures (…) à court et long terme ».

Toutes ses rames sont actuellement utilisées et les deux commandes passées ne feront que remplacer du matériel existant, explique-t-il.

La régie travaille notamment à la conception d’un train sans séparation entre voitures, pour en augmenter la capacité.

Et elle équipe progressivement des lignes du Communications-Based Train Control (CBTC), un système de contrôle automatique permettant de situer chaque train sur les voies et d’en faire circuler davantage.

A plus long terme, New York a engagé un chantier gigantesque pour prolonger la ligne Q sur la deuxième avenue et ainsi délester les lignes 4, 5 et 6. La livraison de la première tranche est prévue en décembre, mais le projet se poursuivra bien après 2020.

Mais certains pointent aussi du doigt la croissance effrénée de certains quartiers de Brooklyn, où des tours remplacent des immeubles de deux étages.

« Ils construisent trop, sans avoir de plan pour les infrastructures, que ce soient les transports, les écoles, ou le reste », s’insurge David Dobosz, enseignant retraité qui vit à Brooklyn.

« Il doit y avoir une collaboration plus étroite entre la ville et nous, pour nous assurer que nous répondons bien à ces besoins », reconnaît M. Ortiz.

La popularité inédite des transports publics n’est pas l’apanage de New York. San Francisco, Washington et Chicago ont ainsi lancé de grands projets pour améliorer leurs métros respectifs.

Philippe Laguerre, l’Appaméen amoureux de New York

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Philippe Laguerre est un auteur appaméen, avec une vingtaine de livres à son actif depuis 1990. Il nous présente son dernier livre Manhattan Marylin, paru le 19 mai dernier.

Décembre 2010 : Michael, amène ses parents pour passer le réveillon à New York. C’est le coup de foudre pour l’auteur ariégeois. «Ce fut un cri d’amour pour cette ville, je suis tombé immédiatement amoureux de New York et de Times Square». Il n’en fallait pas plus à Philippe Laguerre pour savoir sur quoi aller porter son prochain roman, accompagné d’une touche féminine, Marylin Monroe, «un personnage mythique connut dans le monde entier». Son livre «Manhattan Marylin», raconte l’histoire d’une ancienne Marine en Irak, qui découvre dans les affaires de son grand-père un portrait de Marylin Monroe. Plus tard la jeune femme comprendra que son destin est lié à l’ancien mannequin. Fait intriguant dans ce thriller, Marylin est vivante et, connaît le dernier secret de Kennedy, homme avec qui elle eut des relations très rapprochées dans les années soixante.

La genèse : Après un premier livre sur New York, dans le style «guide de voyage» qui n’avait pas trouvé son public, Philippe Laguerre s’est donc tourné vers son style favori : le thriller.

Plus de 10 000 livres dans sa collection

«Ma passion de l’écriture me vient du fait qu’en étant jeune je lisais beaucoup, à l’époque on n’avait pas Internet ni les jeux vidéo. Il y a trois ans j’avais plus de 10 000 livres dans ma collection personnelle. Heureusement que le numérique est arrivé, au moins ils contiennent tous dans une clé USB» explique l’auteur dont l’amour pour la lecture, devient une passion à l’âge de 18 ans. l’âge où «il veut faire comme les auteurs». Il prend alors un pseudo américain pour signer ses livres : c’est Philippe Ward. Philippe pour son vrai prénom et Ward pour l’affaire Charles Dexter Ward d’Howard Lovercraft. Une manière de mélanger son identité et sa passion. Bien que son penchant pour le fantastique, la science-fiction et la «fantasy» le dévore, il n’en oublie pas pour autant ses origines ariégeoises. En effet, il a écrit plusieurs livres sur le département, l’un sur l’introduction des ours dans les Pyrénées, l’autre sur le trésor de Montségur (coécrit) ou encore un ouvrage sur les équipes de rugby de Perpignan. Bref, un large éventail de passions. Philippe Laguerre est aussi éditeur, toujours par «passion» : il reçoit environ 300 manuscrits de science-fiction par an et en publie une dizaine. Une facette de plus ajoutée à cet auteur jamais avare d’histoires à raconter et de sujets où tremper sa plume.

Le roman Manhattan Marilyn disponible sur amazon

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En découvrant dans les affaires de son grandpère décédé des clichés inédits de Marilyn Monroe, l’exmarine Kristin Arroyo ne se doute un instant pas qu’elle va plonger dans les ennuis jusqu’au cou.
Son associé est tué et elle-même n’échappe à la mort que d’extrême justesse.
Pourchassée, traquée, la jeune femme va rapidement comprendre que son destin est lié à celui de Marilyn Monroe et s’efforcer de reconstituer les derniers jours de l’égérie hollywoodienne et percer le mystère qui entoure sa disparition…

AUTEUR(S)

Philippe Laguerre est né à Bordeaux à la fin des années 50. Installé dans l’Ariège, il aime regarder de vieux films, lire des romans policiers et voyager à travers le monde. Avec Manhattan Marilyn, il nous livre un thriller historique passionnant et une vision lucide des États-Unis sous la présidence d’Obama.

un avis sur Manhattan Marilyn

CRITIQUE DE FANTASIO (FACEBOOK)

MANHATTAN MARILYN de Philippe Laguerre. (Éditions Critic)
« L’idée lui était venue soudain : elle devait mourir pour ne pas mourir. Comme une mort de cinéma. »
Ancienne Marine en Irak, Kristin Arroyo découvre dans les affaires de son grand-père décédé – un célèbre portraitiste – des clichés inédits de Marilyn Monroe. Aidée par un photographe, elle décide de monter une exposition.
Malheureusement, rien ne se passe comme prévu : une mystérieuse organisation s’en rend à eux. Pourchassée, traquée, la jeune femme va rapidement comprendre que son destin est lié à celui de Marilyn Monroe et s’efforcer de reconstituer les derniers jours de l’égérie hollywoodienne afin de percer le mystère qui entoure sa disparition.
Une légende mondiale, des photos mystérieuses, une société secrète toute puissante, une invention fabuleuse, la mafia, le FBI, un milliardaire sympathique et une jeune ancienne soldat plutôt paumée devenue une cible malgré elle…. tout est réuni pour un thriller passionnant. Et c’est effectivement le cas.
Je dois avouer que je suis souvent agacé par les polars, de plus en plus nombreux, écrits par des français, dont l’action se déroulent aux États-Unis avec des protagonistes américains et qui multiplient souvent les détails et anecdotes « typiques »pour bien prouver que l’écrivain maîtrise bien son sujet. Mais pour ce livre avec ce thème, il aurait été vraiment difficile pour l’auteur de situer son roman au fin fond des Vosges ! D’ailleurs à part quelques lieux communs sur New York (Central Park, poumon de New York, facilité de circuler grâce aux rues et avenues en « damier », etc.), banalités presque obligatoires mais vite expédiées, l’action démarre pratiquement tout de suite et ne faiblira pas tout au long du roman.
Manhattan Marilyn est un thriller « à l’ancienne » (ce n’est pas péjoratif). C’est à dire qu’on n’y trouve ni sexe, ni ultra-violence même si ceux-ci sont suggérés. C’est donc un livre passionnant, bourré d’actions, de rebondissements et de révélations, un chouette roman de détente, avec un sujet original et qui se lit, non, qui se dévore comme on peut regarder un bon film de suspense. Et surtout on sent bien que Philippe Laguerre est passionné par son sujet. Et, faire côtoyer dansla même histoire une icône du cinéma comme Marilyne Monroe et des hommes-taupes (des SDF) est à la fois gonflé et vraiment dépaysant. Et ça fonctionne parfaitement !
Un bouquin qui offre quelques heures de bonne distraction. Que demander de plus ?

USA : vaste opération anti-gang dans le Bronx, 120 arrestations

La police de New York a mené mercredi une vaste opération anti-gang dans le quartier du Bronx au cours de laquelle 120 personnes recherchées par la justice ont été arrêtées, ce qui est qualifié de « plus important coup de filet de l’histoire de la ville » contre des gangs.

« Enorme succès dans le démantèlement de gangs cette nuit dans le Bronx », a tweeté la police de New York (NYPD). Contactée par l’AFP, une porte-parole n’était pas en mesure de donner des détails dans l’immédiat.
Un important dispositif avait été mobilisé pour cette opération qui s’est déroulée aux premières heures mercredi.

Le bureau du procureur fédéral du district Sud de New York devait donner une conférence de presse en milieu de journée pour « annoncer les inculpations contre 120 membres et associés de deux gangs de rue violents opérant dans le Bronx, dans ce qui est considéré comme le plus important démantèlement de gang dans l’histoire de la ville de New York », selon un communiqué.

Les deux gangs rivaux concernés sont connus sous les appellations « Big Money Bosses » (BMB) –qui opère à New York– et « Fly YGz » –présent dans l’ensemble des Etats-Unis–.
Parmi les chefs d’accusation figurent notamment « meurtres », « fusillades », « actes de violence et vente de stupéfiants », « vol, tentative de vol, fraude bancaire, utilisation de monnaie contrefaite », « conspiration de racket », etc.

Un bar à thème Tim Burton ouvre à New York

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Si vous êtes un fan inconditionnel de l’univers déjanté du réalisateur Tim Burton, une adresse pourrait bien attirer votre attention lors de votre prochain séjour à New York : la Beetle House.

Nichée en plein coeur de East Village, ce nouveau bar à thème s’inspire du travail et des personnages du cinéaste à succès. De la décoration à la carte, tout y est burtonien.

Ouvert en cette fin du mois d’avril, le bar – dont la devise est « C’est Halloween toute l’année ! » – propose des plats originaux comme le Sweeney Beef, le Edward Burger Hands, le Warm Wonka Bar Chocolate ou encore le Alice’s Cup of Tea.

Quant au propriétaire du bar, il ne s’agit bien évidemment pas de Tim Burton himself, mais bien d’un magnat de la restauration ayant déjà ouvert l’an dernier un restaurant à peu près similaire, puisque celui-ci mettait en scène l’univers déjanté de Will Ferrell dans Anchorman.

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Matthieu Matthys

Matthieu Matthys , omniscient avorté, avide de nouveautés et en recherche perpétuelle du pourquoi du comment, je suis fondateur, directeur de publication et responsable cinéma du Suricate Magazine.